Environnement

  • Manger Bio et local c’est l’idéal

    Bonjour,

    Du 28 septembre au 27 octobre 2024, Bio 63 organise la 18ème édition de la campagne “Manger Bio et Local, c’est l’idéal”. Ce festival d’animations a pour objectif la rencontre des acteurs de la bio avec le grand public pour le sensibiliser aux bienfaits, largement méconnus, de l’agriculture biologique sur la santé et l’environnement. A cette occasion, les producteurs et productrices, artisans et artisanes, collectivités, associations, magasins proposent des animations sur l’ensemble du département du Puy-de-Dôme. Des portes ouvertes aux jeux de piste, en passant par des soirées apéros concerts ou encore des dégustations de produits, il y en aura pour tous les goûts.

    Je vous invite à prendre connaissance du communiqué de presse et du programme des animations en pièce jointe.

    Merci d’être les relais de cette campagne pour la faire connaître au plus grand nombre !

    Pour toutes questions, vous pouvez m’appeler au 06 99 01 70 99.

    Bonne journée,

    Bien cordialement,

    Hélène Cadiou

  • Le Relais du rail 5 octobre 2024

    Nous sommes à 12 jours de notre prochaine action : le Relais du Rail.

    En tant que coordinateur de cet événement, plusieurs points restent encore à clarifier, et votre mobilisation est essentielle pour assurer le succès de cette action. Grâce à notre engagement collectif, la ligne ferroviaire n’a pas été déclassée, mais simplement suspendue. Tout reste donc encore possible !

    Appel à participation

    Nous recherchons trois personnes pour animer les relais pédestres sur les marchés de Thiers et Noirétable, ainsi que devant la gare de Boën. Le but est de faire participer le plus grand nombre à cette action symbolique, en se passant le relais sur 100 ou 200 mètres. Merci de vous inscrire dès maintenant pour l’un de ces lieux, et de me contacter pour plus de précisions.

    Participation cycliste

    Nous avons également besoin de savoir si vous prévoyez de participer à une partie du parcours à vélo, et si oui, merci de me préciser votre point de départ et d’arrivée.
    Pour rappel, les participants à vélo devront être munis d’un casque, d’un gilet jaune ou orange, et respecter le code de la route. Entre Thiers et Noirétable, nous emprunterons la route principale. De Noirétable à Boën, nous privilégierons des routes secondaires, ce qui rendra ce tronçon plus agréable.

    Transport de matériel

    Nous recherchons aussi une personne pour conduire la voiture de soutien, qui transportera les banderoles, roll-ups et autres matériels entre les différents points du parcours. Cette voiture pourra également servir de véhicule d’assistance en cas de problème mécanique avec un vélo.

    Animation à Boën

    Nous aimerions proposer une animation à Boën. Si vous connaissez des musiciens ou artistes, n’hésitez pas à les solliciter pour qu’ils se joignent à nous et animent cet événement.

    Derniers préparatifs

    Un flyer est disponible ici pour distribution, merci de le diffuser largement autour de vous.
    Nous vous invitons également à participer à la réunion de finalisation de la mobilisation, qui aura lieu en ligne via Zoom le lundi 30 septembre à 20h35.

    Rejoindre Zoom Réunion :
    https://eu01web.zoom.us/j/6342690000?pwd=OGZPbGZuOUJLN0F3UTFHUGZaWWRsZz09

    ID de réunion: 63 42 69 00 00 *
    Code secret: 9PvzmE#


    Merci de nous tenir informé au plus vite de votre disponibilité et de relayer cette information autour de vous pour encourager la participation aux relais pédestres à Thiers, Noirétable et Boën.

    À très bientôt,

    Jean-Marc
    Coordinateur de l’opération « Le Relais du Rail » pour LeTrain634269

    07 68 03 49 10

    P avant d’imprimer, pensez à l’environnement

  • Débat sur le nucléaire : « On a quatre minutes pour s’exprimer alors que c’est nous qui vivons dedans »

    La première soirée de débat public sur les futurs réacteurs EPR2 de Gravelines, dans le Nord, a souligné le déséquilibre entre la parole des représentants d’EDF, rompus aux éléments de langage, et celle des associations écologiques qui manquent de moyens.

    Jade Lindgaard (Médiapart)

    18 septembre 2024 à 15h34

  • Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Grand débat public sur la mine d’Echassières

    Article de La Montagne du 18 février 2024

  • Grand débat public autour de la mine d’Echassières Allier

  • Une saga des luttes contre l’enfouissement des déchets des centrales nucléaires

    Voici le lien du documentaire « Notre terre mourra proprement » (ce qui
    concerne Saint Priest la Prugne c’est entre la minute 17 et la minute 26)
    Cliquez çi dessous:
    https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=la+terre+mourra+proprement#fpstate=ive&vld=cid:1f0d05e9,vid:G-dvPRtFGGY

  • La centrale nucléaire du Bugey totalement à l’arrêt

    Black-out à la centrale nucléaire du Bugey (Ain). Depuis vendredi 29 avril et jusqu’à ce lundi 2 mai au moins, les quatre réacteurs de 900 mégawatts (MW) du site sont à l’arrêt. « Du jamais vu. Le site ne produit donc plus d’électricité mais en consomme [la production de] 94 MW pour le refroidissement des réacteurs arrêtés », indique Joël Guerry, du collectif Sortir du nucléaire Bugey, dans un communiqué diffusé samedi 30 avril.

    La centrale a été stoppée « en raison de travaux planifiés », a précisé EDF au quotidien régional Le Progrès. D’après le collectif antinucléaire, Bugey 2 est en maintenance jusqu’au 15 mai ; Bugey 3 et Bugey 4 ont été arrêtés pour contrôle des tuyauteries du circuit d’injection de sécurité, suite à la découverte de corrosions et de fissures sur une petite dizaine de réacteurs du parc ; et Bugey 5, qui aurait dû redémarrer le 26 février suite à sa quatrième visite décennale, n’avait toujours pas été reconnecté au réseau lundi après-midi. « EDF ne communique pas sur les problèmes qu’elle rencontre avec ce réacteur depuis le 26 février », s’inquiète Joël Guerry.

    Source: Reporterre, Collectif sortir du nucléaire

  • Qui est Youri Bandajevski ?

    Nous avons annoncé sa venue à Clermont-Ferrand pour une conférence, le 4 décembre 2018, « Tchernobyl continue ».
    CE médecin soviétique a tout de suite compris l’ampleur du désastre de Tchernobyl et s’est attaché à en étudier les conséquences sanitaires. Non sans difficultés.
    La CRIIRAD nous donne un condensé de sa biographie

  • Centre ECOLOGIE ET SANTE

    Le centre ECOLOGIE ET SANTE résulte d’un projet porté depuis des années par le professeur YURI BANDAZHEVSKI. Il a commencé à fonctionner à Kiev en Ukraine.
    Il met en œuvre un programme international financé par l’Europe.
    Il vise l’étude des régions contaminées par la catastrophe de Tchernobyl et l’amélioration de la santé publique pour les habitants de ces régions.
    Une convention est passée entre le centre et l’académie de Clermont-Ferrand.
    Pour en savoir plus :
    ( site trilingue : français, russe, anglais)
    https://chernobyl-today.org/fr/home

  • Suivi des anciennes mines d’uranium du Puy de Dôme

    Deux campagnes de spectrométrie (mesures des niveaux de radioactivité) héliportées ont eu lieu :

    • au nord ouest du département sur les communes de Lachaux, Ris, Arconsat, Chateldon, Puy-Guillaume, Saint-Victor-Montvianneix.
    • au Sud Est d’Ambert, sur les communes de Saint Martin des Olmes, Grandrif et Baffie.
      Après analyse des résultats, les mesures obtenues ont été complétées par des prospections au sol confiées à la STMI (Société des Techniques en Milieu Ionisant), filiale d’AREVA.
      Lors d’interventions sur le terrain, nous avons pu fournir aux prospecteurs quelques indications qui n’avaient pas été relevées.
      Ces opérations ont visé uniquement à retrouver les stériles radioactifs, c’est-à-dire le minerai trop pauvre pour être exploité et abandonné à la sortie de la mine ou utilisé pour divers travaux (cf SEVES Septembre 2012). L’examen des résultats n’est pas terminé et aucune des mesures obtenues n’a été publiée. AREVA n’a diffusé que les cartes à grande échelle, inutilisables pour localiser les sites contaminés.
      Par ailleurs AREVA a publié en juillet 2012 le « suivi environnemental du site de Roffin » pour l’année 2011.
      Le 18 décembre 2012, une réunion a été organisée à St Priest-la-Prugne par le sous-préfet de Roanne à l’intention des maires et associations intéressées par les sites miniers du Forez.
      Tout en remettant à plus tard la publication des recherches effectuées, le représentant d’AREVA a fourni ou répété quelques explications. A partir des mesures réalisées, AREVA applique divers scénarios aux populations vivant sur ou à proximité des zones contaminées. A partir de là sont calculées les « doses efficaces annuelles ajoutées » reçues par les individus de divers groupes de population (enfants, retraités, agriculteurs, …). Il s’agit de doses reçues en plus de celles provenant de la radioactivité naturelle ou d’origine médicale.
      La limite de dose efficace ajoutée est de 1 mSv/an pour le public (1 milliSievert/an). Mais il est indispensable de tenir compte des doses pouvant provenir d’autres sources de contamination. AREVA veut donc retenir les doses suivantes pour déterminer ses interventions :
    • au dessous de 0,3 mS/an : pas d’intervention,
    • entte 0,3 et 0,6 mSv/an : intervention à décider au cas par cas,
    • au dessus de 0,6 mSv/an : intervention dans tous les cas.
      Ces limites ne sont pas satisfaisantes. Elles sont en discussion au niveau national avec l’ASN (Autorité de Sureté Nucléaire), AREVA, etc …
      Parmi les sites miniers du Forez, AREVA ne retient sur le Puy de Dôme que 2 sites à plus de 0,6 mSv/an sans préciser lesquels.
      A noter que :
    • ces recherches ne portent que sur les stériles. On ne parle que du site de Roffin avec ses problèmes d’eau et ses résidus de traitement du minerai. Au Bois des Gardes (St Martin des Olmes) du minerai provenant d’aires de stockage a été réenterré sans précaution particulière.
      -AREVA n’envisage d’intervenir que dans les zones liées à des infrastructures humaines et sur des terrains non naturels. D’où le risque d’oublier les autres zones contaminées et d’y développer un jour des activités humaines sans décontamination.
      Tout cela, c’est ce que les nucléocrates appellent « gérer le passé ». Une expression qui revient sans cesse dans leur discours alors que la problématique est de préparer l’avenir.
      En conclusion (provisoire) force est de constater que la situation et l’attitude d’AREVA sont loin d’être satisfaisantes.
      Par ailleurs, actuellement AREVA prend en charge les travaux de décontamination qui résultent du recensement en cours. Ce ne sera plus le cas ultérieurement. Il faut donc maintenant veiller à signaler les zones contaminées, faute de quoi les travaux nécessaires resteront à la charge des particuliers et des communes. Il faut maintenant obliger AREVA à assainir et réaménager tous les sites concernés.