Eau

  • Forum de l’eau, caravane à Riom, suite

    Le 8 mars 2012, la caravane de l’eau s’arrête à Riom, Maison des associations, 16H-19H30.
    Expositions, 2 tables-rondes
    Ci dessous une contribution à la première : quantité et qualité de la ressource. à télécharger : FAME8 doc

    Le Forum de l’eau invite à créer un « cahier de doléances », à revisiter notre « château d’eau » dans sa situation actuelle et dans son avenir.

  • Plan régional environnement santé

    Etabli par l’Agence Régionale de Santé, adopté en mars 2011, il renvoie la déclaration de l’ONU du 28 juillet 2010 : »l’accès à une eau de qualité est un droit humain ».
    Comment ce droit est-il appliqué dans le PdD ?

  • Protection des captages en 2009

    les captages d’eau potable le long de l’Allier ont du souci à se faire. texte écrit fin 2009

  • L’aire d’alimentation des captages

    Depuis 2008, les captages d’eau potable qui ont été reconnus « prioritaires » doivent être protégés dans toute leur « aire d’alimentation ». fin 2010 le premier « bassin d’alimentation » est mis en place pour 2 captages de la commune de Pont-du-Château

  • Le bassin de l’Auzon en 2009 et 2012

    En 2009 le CPIE Clermont-Dôme signe une étude sur le bassin de l’Auzon. Commentaire et ajouts complémentaires

    fin 2010, la Veyre retrouvait ses méandres
    fin 2011, l’embouchure de la Veyre, sur le lac d’Aydat, retrouvait sa liberté et sa roselière. La pisciculture a été achetée, désaffectée.
    Le syndicat mixte des vallées de la Veyre et de l’Auzon peut enfin travailler.
    Le reméandrage pourrait servir de modèle pour les cours d’eau de Limagne transformés en fossés de drainage, mais il est plus difficile de convaincre les propriétaires !

  • Cours d’eau février 2010

    Texte pour accompagner les journées Cours d’eau H20 d’avril 2010

  • Création d’une zone vulnérable aux nitrates

    La consultation publique sur le projet de zone vulnérable aux nitrates le long de l’Allier se terminait fin juin 2009. L’avis de PdDNE a été envoyé avec quelques jours de retard, le 6 juillet.
    Cela était annoncé depuis longtemps ; cette zone qui fournit la plus grande partie de l’eau potable aux habitants du département reçoit tous les surplus de la fertilisation (nitrates) de la Limagne, sans parler des nombreux pesticides qui, on ne sait pourquoi, sont exclus de la vulnérabilité des sols et de l’eau.

  • Captages AEP, esquisse novembre 2009

    texte pour le Groupe Eau de l’Université populaire et citoyenne, le 24 février 2010. Les captages d’eau potable le long de l’Allier alimentent le Grand Clermont et les syndicats distributeurs voisins

  • Boire, mais quoi?

    L’eau du robinet ? chargée en nitrates et parfumée à la javel ? l’eau en bouteille ? chère et, malgré les promesses du PET, matériau généralisé en toute hâte et sans tambour au début des années 1990, pleine de résidus de plastique. A la télé, on voit sur les tables des prestigieuses réunions publiques, des carafes et des verres, voire seulement des verres remplis. L’association de consommateurs, Que choisir ?, est très active.

    Les sociétés concessionnaires se partagent 80% du marché de l’eau ; la Lyonnaise des Eaux (Suez) couvre le plus grand territoire d’un seul tenant, dans notre région. Clermont-Ferrand reste en régie municipale et Cournon a été reprise en 2007. biblio : La Galipote n°116. {voir plus loin}
    Importance des sociétés d’embouteillage d’eaux. Volvic, la plus connue, appartient à Danone. Avant d’être mises en bouteilles (de plastique) et commercialisées, toutes les eaux sont traitées, mais cela n’est pas dit. Toutes les bouteilles de plastique, et même celles en PET, relâchent des molécules dans l’eau. Pour la bonne raison que la bouteille est remplie sitôt moulée à chaud ! Et qu’ensuite elle est stockée et transportée en plein soleil… Si vous voulez en boire, préférez celles qui ont un taux élevé d’ohm (résistivité) et un taux faible de résidus à sec. Ce sont les plus « pures ». Les sels minéraux vantés dans les publicités ne font que transiter dans notre organisme qui ne les assimile pas, en général. Notre principale source de sels minéraux se trouve dans les fruits et légumes.
    Enfin, malgré une très ancienne obligation, les captages d’eau de robinet sont peu protégés ; la plupart n’ont qu’un très petit périmètre de protection.
    La solution individuelle (et égoïste) est d’utiliser une carafe filtrante. Souvent, le filtre, lorsqu’il est fixé sur un robinet, devient un nid à bactéries et il faudrait qu’il soit jeté dans une décharge spécialisée dans les produits toxiques, ce qui n’est pas le cas.
    Solution : pas de solution, à moins de préserver correctement la ressource en eau.

  • Surveiller, et après ?

    lien : www.phyteauvergne.org
    Ce site n’est plus accessible, car son financement par l’Etat n’est pas reconduit. Les financements locaux restent assurés jusqu’à 2010, mais insuffisants pour continuer la surveillance à l’identique. Donc, période de réflexion… C’est le Service de la protection des végétaux de la Draf (Direction régionale agriculture et forêt) qui valide la surveillance des résidus phytosanitaires dans l’eau. Une seule personne en était chargée, partie l’été 2007 et pas encore remplacée au printemps 2008. mail : srpv.draf-auvergne@agriculture.gouv.fr

    En 1996, fut décidée la création d’un organisme, dans chaque région, pour surveiller la présence de pesticides dans l’eau vive (les rivières) et souterraines (les nappes phréatiques). L’Auvergne mit sur pied, dès 1997, le groupe Phyt’eauvergne qui, depuis, publie un rapport copieux à intervalles presque réguliers. Puy-de-Dôme Nature Environnement a suivi l’augmentation régulière du nombre et de la concentration des pesticides dans la région.